
Alors que le bilan des émeutes est officiellement passé à neuf morts, ce mercredi 13 juin, "c’est avec une profonde émotion" que le président du gouvernement, Louis Mapou a appris le décès de cet homme de 34 ans adressant à sa famille, son clan et sa chefferie "ses plus sincères condoléances" et à leur témoignant "son affection en ces moments douloureux".
Après un mois d’événements tragiques, il s’agit de "neuf (victimes) de trop", insiste le chef de l’exécutif, qui "dans ce contexte douloureux" et dans la continuité de sa déclaration solennelle du samedi 8 juin [1], réitère son "appel pressant à la levée immédiate des barrages et à un retour au calme".
"Il est impératif que chacun contribue au retour à l’apaisement et à la sérénité dans le pays, martèle Louis Mapou, avant de conclure : La décision du président de la République de dissoudre l’Assemblée Nationale confirme que la loi constitutionnelle concernant le corps électoral provincial n’est désormais plus d’actualité."