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    Politique
  • avec AFP | Crée le 15.04.2022 à 09h05 | Mis à jour le 15.04.2022 à 09h14
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    Des affiches électorales du président-candidat à la présidentielle Emmanuel Macron (LREM) et de la candidate du Rassemblement national (RN) Marine Le Pen à Denain (Nord), le 11 avril 2022. Ludovic MARIN [AFP]
    Marine Le Pen a lancé jeudi 14 avril à Avignon un appel aux "patriotes de droite, patriotes de gauche" pour "faire barrage" à Emmanuel Macron lors du second tour de la présidentielle. Le président-candidat s’adressant pour sa part au Havre à la fibre écologique des électeurs.

    Il s’agissait du premier grand meeting de l’entre-deux-tours pour Marine Le Pen (RN), deux jours avant un important rassemblement à Marseille d’Emmanuel Macron (LREM). Objectifs pour les deux finalistes : élargir leur base du premier tour en attirant notamment les électeurs de leader insoumis Jean-Luc Mélenchon (21,95 % des voix).

    Devant 4 000 sympathisants, selon les organisateurs, brandissant des drapeaux tricolores et scandant "Marine présidente", Marine Le Pen a appelé à "faire barrage" à Emmanuel Macron et "cette caste qui nous gouverne avec arrogance", se présentant comme la candidate du "peuple face à l’oligarchie". Comme en écho aux appels du camp Macron à "faire barrage" à l’extrême droite.

    "Notre seul parti, c’est la France"

    Les sondages donnent pour l’heure une victoire du président sortant le 24 avril, entre 53 et 55 % des voix. En 2017, il avait sèchement battu Marine Le Pen avec près de 64 % des suffrages.

    "Patriotes de droite, patriotes de gauche ou d’ailleurs, je dis […] notre seul parti, c’est la France", a lancé Marine Le Pen, veste rouge, devant trois drapeaux français.

    Développant les grands thèmes de son programme, la candidate d’extrême droite a mis un accent tout particulier sur la mobilisation et l’abstention. "Nous voilà presque arrivés au bout du chemin", a-t-elle assuré depuis son pupitre où était inscrit "si le peuple vote, le peuple gagne".

    "L’écologie du progrès"

    Un peu plus tôt dans l’après-midi au Havre, ville dirigée par son ancien Premier ministre Édouard Philippe, le président sortant a consacré la totalité de son déplacement aux énergies renouvelables, qu’il veut développer de concert avec le nucléaire. En défendant particulièrement les éoliennes tant honnies par sa rivale d’extrême droite.

    Il a affirmé croire à "l’écologie de progrès" qui "réconcilie l’industrie, l’emploi et l’écologie", en y investissant 10 milliards d’euros par an s’il est réélu.

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