- | Crée le 06.12.2019 à 15h29 | Mis à jour le 06.12.2019 à 15h39ImprimerManu Dibango jeudi après-midi, lors de la conférence de presse de présentation du festival « Jazz à Nouméa ».
Manu Dibango, qui se produira samedi soir au centre culturel Tjibaou dans le cadre du festival Jazz à Nouméa, a une carrière immense, commencée dans les années soixante.
Après le succès aux Etats-Unis de l’un de ses tubes, Soul Makossa, le saxophoniste se produit sur la mythique scène de l’Appollo de Harlem, à New York, en 1973. Il évoque le souvenir de cette époque, mais jette aussi un regard sur le succès, en rappelant l’importance du public. Il parle aussi de l’importance du métissage dans sa musique.
Manu Dibango se produira samedi soir au centre culturel Tjibaou, à l’occasion de la première édition du festival Jazz à Nouméa, organisé en collaboration avec le festival jazz à Vienne et l’AFMI (association de formation des musiciens intervenants).
Il sera précédé par Sandra Nkaké et son projet "Elles", un concert acoustique unique autour de chansons écrites et composées par des femmes.
Avant ces deux têtes d’affiche, trois groupes locaux se produiront : What The Funk, un groupe de neuf musiciens passionnés par le funk sous toutes ses formes, BeCARe, un projet né d’un programme de Classe Artistique Renforcée réunissant 22 élèves autour de leur amour pour la musique. Et KNK Unity, un groupe issu de la formation CMIT (Certificat de Musiciens Intervenants Territorial), assurée par le CMDNC (conservatoire) et l’ AFMI (association de formation des musiciens intervenants). Le répertoire est varié et va du jazz fusion au Kaneka revisité en passant par les musiques du monde.
L’esprit de « Jazz à Vienne »
Comme beaucoup d’événements culturels, la première édition du festival « Jazz à Nouméa » est née d’une rencontre entre Chris Tatéosian, gérant de Musical Production, organisateur de l’événement et de Benjamin Tanguy, directeur artistique du festival « Jazz à Vienne », devenu un rendez-vous incontournable des dates musicales estivales européennes.
« L’un des objectifs de Jazz à Vienne, c’est de faire venir des grands noms et que cela profite aux musiciens installés localement pour qu’ils puissent s’exprimer sur scène et ainsi être mis en avant. C’est cet esprit-là qui guide aussi le festival Jazz à Nouméa », a résumé Benjamin Tanguy jeudi, lors de la conférence de presse de présentation.
MERCI DE VOUS IDENTIFIER
Vous devez avoir un compte en ligne sur le site des Nouvelles Calédoniennes pour pouvoir acheter du contenu. Veuillez vous connecter.X
J'AI DÉJA UN COMPTEJE N'AI PAS DE COMPTE- Vous n'avez pas encore de compte ?
- Créer un nouveau compte
Vous avez besoin d'aide ? Vous souhaitez vous abonner, mais vous n'avez pas de carte bancaire ?
Prenez contact directement avec le service abonnement au (+687) 27 09 65 ou en envoyant un e-mail au service abonnement. -
-
DANS LA MÊME RUBRIQUE
-
VOS RÉACTIONS
- Les transports aériensà consulter ici