1 > Autour du fort Teremba, lui-même transformé en « village psychédélique », des centaines de tentes de festivaliers, deux chapiteaux, trois scènes, une dizaine de snacks et buvettes… Après trois éditions plus discrètes, le Blackwoodstock festival a changé de dimension.
2 > Du rythme électrique de Palace of the King, rockeurs australiens qui ont fait sensation, à la contrebasse dansante des Calédoniens de Café crème, les spectateurs n’avaient que l’embarras du choix.
3 > Le festival n’a pas failli à sa mission première : promouvoir et faire évoluer la scène rock locale. Après les prestations remarquées de Hold-out, Sandy Factory, ou Analkholic vendredi, c’est King Buiscuit time (photo), les Pirketous, Afrileptik ou Botox qui ont pris le relais samedi.
4 > Le festival rock - « and arts » puisque plusieurs prestations et activités ont rythmé les deux jours - permet de s’inspirer et de se mesurer à des invités venus d’ailleurs : à Moindou se sont croisés ce week-end les dandys de Telegram (photo), les grunges d’Aver, ou la fantasque Billy ze kick.
5 > Mais c’est le trop rare CharlElie Couture qui était le plus attendu. Violon from the Bayou, orgue blues, solos de guitare et rythmes relevés… Avec ses musiciens expérimentés, et sa voix unique, il a ravi le public calédonien, qui le lui a bien rendu.
Lundi 03/10/2016
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