Mobilisation. Si les Mondoriens étaient les premiers à s’exprimer, des gens de Yaté, de Nouméa et même de Brousse sont venus pour dénoncer cette situation unanimement qualifiée « d’intenable ». Certains n’ont pas hésité à parler « d’asphyxie » ou encore de « prise en otage intolérable de la Nouvelle-Calédonie ». Portraits d’indignés bien décidés à se faire entendre.