1 > Ce Christ sur sa croix, à l’entrée de la route de La Couvelée, à Dumbéa, a donné son nom au quartier voisin du Calvaire. Chaque jour, de belles couronnes de fleurs fraîches sont posées autour du cou et des pieds du supplicié. Parfois, le saint homme est même habillé de manous colorés.
2 > Selon le père Gidrol, ce calvaire situé entre Robinson et La Conception, au Mont-Dore, a été érigé par une famille wallisienne. « Je crois que c’était en 2000, se rappelle-t-il. Afin de célébrer l’année de la Parole, la Bible, partie de Yaté, a été transportée par les gens de Bélep depuis le col de Mouirange jusqu’à ce lieu de transmission. »
3 > C’est en septembre 2013 que la réplique du Christ Rédempteur de Rio est inaugurée au mont Vivete, à Païta, à côté de la grande croix blanche, posée onze ans auparavant. Tous deux sont illuminés la nuit.
4 > Peu connu, le calvaire de Numbo, à Nouméa, se trouve au-dessus du centre Raoul-Follereau qui a fermé ses portes en début d’année. Très bien entretenu, l’endroit offre également une belle vue sur la baie.
5 > C’est un des Christ crucifiés les plus connus, aux limites du Quartier-Latin et du Faubourg-Blanchot. Yves Berge, organiste en la cathédrale Saint-Joseph de Nouméa, se souvient de la procession organisée pour transporter la croix du chœur de la cathédrale, où elle était exposée, à sa destination. « C’était en mai 1939, le mois de la Vierge chez les catholiques. Le terrain a été donné par la famille Montchovet, très pratiquante. » Cela fait maintenant dix ans que Topi Tuilekutu entretient ce calvaire resplendissant.
Mardi 08/11/2016
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