Les poulets fermiers, des « cou-nus » à Nessadiou, sont abattus à partir de 84 jours, là où l’élevage standard, qui utilise des races à la croissance plus rapide, emmène les volailles à l’abattoir dès le 55e jour.Photo Charlie Réné
Il faut compter 1 300 à 1 500 francs le kilo pour un poulet fermier élevé en plein air, nourri plus longtemps et dans de bien meilleures conditions que les petits poulets congelés importés qui s’arrachent parfois à 300 francs.Photo Julien Cinier
Vendredi 02/02/2018
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