Sur chaque poisson, les scientifiques réalisent un prélèvement d’écaille ou de nageoire destiné à l’handicaper un minimum. Les prélèvements sont classés et envoyés à Paris.
Un gobie Attiti. Après les accidents environnementaux de 2009 et 2014, plusieurs spécimens avaient été envoyés au MNHN, pour que soient étudiés leurs otolithes.
Sur chaque poisson, les scientifiques réalisent un prélèvement d’écaille ou de nageoire destiné à l’handicaper un minimum. Les prélèvements sont classés et envoyés à Paris.
Lundi 19/09/2016
VOS RÉACTIONS
MERCI DE VOUS IDENTIFIER
X
Vous devez avoir un compte en ligne sur le site des Nouvelles Calédoniennes pour pouvoir acheter du contenu. Veuillez vous connecter.
Vous avez besoin d'aide ? Vous souhaitez vous abonner, mais vous n'avez pas de carte bancaire ? Prenez contact directement avec le service abonnement au (+687) 27 09 65 ou en envoyant un e-mail au service abonnement.