Le déploiement de moyens humains et matériels est massif et inédit.
L'État, en charge d'organiser la dernière consultation de l'accord de Nouméa, va mobiliser plus de 2 000 policiers, gendarmes et militaires pour sécuriser le scrutin du 12 décembre et s'assurer de sa sincérité.
Les forces de sécurité intérieures auront pour mission, notamment, de prévenir tout trouble à l'ordre public avant, pendant et après le vote.
La surveillance sera accrue sur le terrain mais aussi sur Internet puisqu'une unité de cyberdéfense va contrôler les possibles ingérences étrangères.
Lundi 25/10/2021-
VOS RÉACTIONS
Videos