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    Nouvelle Calédonie
  • LNC | Crée le 27.08.2024 à 17h43 | Mis à jour le 27.08.2024 à 17h48
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    Le tribunal administratif a rejeté la demande des autorités coutumières de Saint-Louis de lever les verrous de chaque côté de la tribu estimant que " la sécurité des usagers de la route provinciale était prioritaire". Photo Aurélia Dumté
    Le tribunal administratif a rejeté lundi la requête déposée le 24 août par les autorités coutumières de la tribu de Saint-Louis demandant la réouverture de l’accès à la route provinciale. Le juge a estimé que la notion d’urgence à lever ces verrous n’était pas justifiée et que le rétablissement de la sécurité des usagers de la route provinciale était prioritaire.

    Dans un communiqué envoyé ce mardi, le haut-commissaire réaffirme son soutien à l’ensemble des Mondoriens victimes de la situation d’insécurité créée par "des individus irresponsables et très dangereux" sur la route provinciale et indique que "tout sera fait pour rétablir la sécurité sur cette route".

    Cette réaction du haussaire intervient après le rejet, lundi 26 août par le tribunal administratif, de la requête déposée le 24 août par les autorités coutumières de la tribu Saint-Louis. Ces dernières, souhaitant "dénoncer l’interdiction imposée par le représentant de l’État, depuis le 20 juillet, pour toute la population de la tribu d’entrer et de sortir sans autorisation", avaient saisi le juge des référés pour "enjoindre le haut-commissaire à ouvrir l’accès à la route provinciale dans le secteur de Saint-Louis".

    "Protéger les usagers"

    Le 26 août, le juge des référés a rejeté cette requête, considérant "que la notion d’urgence à lever ces verrous n’était pas justifiée et que le rétablissement de la sécurité des usagers de la route provinciale était prioritaire".

    Le haut-commissariat rappelle que les "deux verrous installés sur la route provinciale n° 1 (RP 1), en amont et en aval de la tribu de Saint-Louis", ont été mis en place afin de "protéger les usagers de la route", notamment en raison "des car-jacking (65 depuis le 13 mai dernier) qui se sont intensifiés en juillet et des tirs touchants visant les véhicules de la gendarmerie nationale, tirs provenant d’armes de gros calibres".

    Actuellement, seuls les ambulanciers, médecins et pompiers sont autorisés à y pénétrer.

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