Les Nouvelles calédoniennes : Ces résultats d'analyse de LMR montrent-ils la limite de votre plan de surveillance ? Bernard Chambon, directeur adjoint de la Davar : Avant toute chose, je voudrais dire qu'il n'y a aucun danger à manger des fraises ou des pommes de terre. Ces résultats mettent en lumière l'incohérence de la réglementation qui est aujourd'hui obsolète. Concernant le plan qui a été mis en place il y a trois ans, il vise à améliorer les pratiques culturales afin de permettre au consommateur d'avoir confiance dans les produits qu'il consomme. Quand il y a un dépassement, nous avertissons directement le producteur pour qu'il puisse modifier ses pratiques.