Abonnée depuis "fort longtemps" aux Nouvelles, Christiane Terrier commence toutes ses journées par la lecture de celles-ci. Une habitude qui lui paraît "tout à fait essentielle", notamment depuis qu'elle est retraitée. Et, si elle parcourt l'ensemble du journal, elle voue cependant une passion particulière aux pages "Plaisirs et sorties", qui l'informent sur les évènements à venir. Munie de son agenda, cette férue d'histoire et de vie culturelle note scrupuleusement tous les évènements qui l'intéressent. "Je suis très reconnaissante au journal de donner cette proximité en terme évènementiel, c'est pour moi quelque chose de très agréable", indique-t-elle.

Un réel travail d'archiviste

Mais l'historienne ne s'arrête pas là. Elle prend également grand plaisir à récupérer les articles rédigés sur ces évènements, et à les associer à ses photos, prises sur place. "Dans les premiers temps, je faisais des dossiers où je découpais dans les Nouvelles tout ce qui était afférent au domaine culturel", se remémore-t-elle. Puis, l'abonnement en ligne est arrivé, lui permettant de récupérer directement l'article sur internet.

Car pour elle, ce qui est également "très intéressant" au sein des Nouvelles Calédoniennes, ce sont les éditions en ligne, et notamment les archives. "En ce moment, je rédige un livre sur l'histoire de l'enseignement, et fréquemment je consulte les archives du journal. On y trouve des choses tout à fait passionnantes", décrit-elle. "Le journal est désormais un outil très précieux sur l'histoire récente", affirme-t-elle.

Ceci dit, rien de tel que la version papier : "Je regarde des versions numériques, mais honnêtement, la version papier, j'y suis très attachée", exprime-t-elle.