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    Nouvelle Calédonie
  • La rédaction | Crée le 27.06.2024 à 09h00 | Mis à jour le 27.06.2024 à 09h00
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    Manuel Millar est candidat dans la première circonscription. Photo DR
    Après 2017 et 2022, le candidat indépendant se présente dans la première circonscription lors de ces élections législatives des 30 juin et 7 juillet. A 67 ans, Manuel Millar prône le recours aux énergies naturelles pour "améliorer radicalement les pires fléaux incurables du pays".

    Qu’est-ce qui a motivé votre candidature aux législatives ?

    Depuis 2005, je réalise des démonstrations spirituelles avec l’énergie de la terre de portée mondiale, qui prend sa source en Nouvelle-Calédonie. Le silence des élus et des médias me fait passer pour un illuminé mais si c’était le cas, je n’obtiendrais pas les résultats formels et immédiats lors de toutes mes démonstrations depuis 20 ans. J’améliore ainsi radicalement les pires fléaux incurables du pays sans aucun moyen et l’exemple principal est notre mortalité routière incurable qui connaît des baisses historiques au jour près lors de toutes mes démonstrations depuis 20 ans et cela même lorsque les accidents et blessés augmentent.

    Les résultats sont identiques contre la délinquance car pendant les démonstrations les actes de délinquance diminuent sans prévention ni répression supplémentaires. C’est donc très favorable à notre jeunesse qui est protégée d’un avenir commençant par un passage au Camp-Est. Cela démontre la solution immédiate d’un retour à la sécurité sous toutes ses formes promis par les candidats à chaque élection mais jamais réalisé.

    Le destin naturel de la Nouvelle-Calédonie est donc de devenir l’exemple mondial d’une nouvelle ère meilleure. C’est tout bénéfice pour nous qui devons améliorer le pays et donc nos vies d’abord pour montrer la solution au reste du monde. Un pays comme chacun de nous ne trouve le bonheur qu’en accomplissant son destin.

    Qu’attendez-vous de ces élections ?

    Voter pour moi, c’est donc accepter les améliorations et le destin naturel de la Nouvelle-Calédonie alors que la politique, qui impose des destins d’humains partout dans le monde, est la cause principale des guerres et la cause réelle de l’insurrection et de la destruction de la Nouvelle-Calédonie. Rester sur la voie actuelle qui cache le destin du pays amènera forcément d’autres insurrections !

    J’attends donc en étant élu de pouvoir expliquer et conduire la Nouvelle-Calédonie sur la voie de son destin bénéfique à tous.

    L’énergie de la terre ne fait pas de politique.

    Le président de la République a annoncé sa décision de suspendre le projet de loi sur le dégel. Qu’en pensez-vous ?

    C’était la seule solution sage actuellement et je critique fortement l’attitude irresponsable des élus locaux qui ont tenté de l’imposer de force par intérêt partisan.

    Comment aborderez-vous cette question si elle est de nouveau présentée à l’Assemblée nationale ?

    Je l’aborderai dans le sens d’un accord global, comme accepté par les indépendantistes dans leur revendication qui pour moi est justifiée et compréhensible même si je ne soutiens pas l’indépendance. L’énergie de la terre ne fait pas de politique. Les frontières, les systèmes politiques… sont la cause de toutes les guerres. Elle ne connaît que ceux qui s’unissent à elle et ses bienfaits profitent autant aux indépendantistes qu’aux loyalistes. Négocier en nous unissant avec cette énergie bénéfique assurerait du meilleur accord possible. Les Kanak veulent, et c’est logique, être au centre des accords. En unissant le pays avec cette énergie, les Kanak avec les autres ethnies seront au centre du nouveau monde puisque la Nouvelle-Calédonie a été choisie pour ses habitants. Quelle meilleure revanche pour effacer un passé de peuple colonisé ?

    La politique seule n’a jamais rendu aucun peuple heureux nulle part dans le monde.

    Quels sont les thèmes que vous souhaitez aborder avec les Calédoniens durant cette campagne ?

    Le principal terme que je veux démontrer est bien le destin naturel de la Nouvelle-Calédonie et les deux voies face au pays, qui sont : le rejet de ce destin qui est le pire des chemins sans aucune solution comme prouvé par nos fléaux qui s’améliorent seulement lors des démonstrations mais sont incurables le reste du temps ; et enfin l’acceptation de ce destin qui s’impose à tous puisque nous sommes tous de passage sur cette terre qui, elle, est éternelle et dans ce cas, c’est le meilleur de tous les chemins pour l’évolution du pays prouvé par nos pires fléaux qui s’améliorent naturellement sans aucun moyen lors des démonstrations.

    Comment réussissez-vous à faire campagne dans un pays en situation insurrectionnelle ?

    Faire campagne est difficile pour moi malgré mes arguments prouvés par des résultats concrets très supérieurs à tous ceux des politiciens mais difficile à informer sans le soutien des médias. Je réussis à améliorer absolument tous les fléaux contre lesquels la politique et les pouvoirs publics ont échoué et cela démontre que sans l’énergie bénéfique de la terre, le peuple est absolument seul au monde face au mal. Je suis resté seul dans ce combat car tant que le pays n’est pas uni, j’affronte seul toutes les mauvaises énergies et je ne veux faire subir cela à personne d’autre. Si je suis élu, je prendrai immédiatement les décisions pour que le pays lutte de manière naturelle contre ces mauvaises énergies et ainsi, le peuple entier en sera protégé.

    Mon message est donc de démontrer que la politique seule n’a jamais rendu aucun peuple heureux nulle part dans le monde ; et qu’en respectant le destin de la terre, tout s’améliore en faveur du peuple et des pays. C’est formel.

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